REPUBLIQUE DU SENEGAL
Un Peuple – Un But – Une Foi
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MINISTERE DE L’ECONOMIE
ET DES FINANCES
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COMMUNIQUE...
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05-Jun-2013
to
18:40
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- ASSEMBLEES ANNUELLES DE LA BANQUE AFRICAINE DEVELOPPEMENT, MARRAKECH, 30 – 31 MAI 2013
- REPUBLIQUE DU SENEGAL
Un Peuple – Un But – Une Foi
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MINISTERE DE L’ECONOMIE
ET DES FINANCES
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COMMUNIQUE DE PRESSE
ASSEMBLEES ANNUELLES DE LA BANQUE AFRICAINE DEVELOPPEMENT, MARRAKECH, 30 – 31 MAI 2013
Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Kane, prône des stratégies innovantes et
ingénieuses pour une meilleure mobilisation de ressources
La 48ème Assemblée annuelle du Conseil des Gouverneurs de la BAD et la 39ème Assemblée annuelle du Conseil des
Gouverneurs du Fonds Africain de Développement (FAD) se sont conjointement tenues les 30 et 31 mai 2013 à
Marrakech, Royaume du Maroc.
Le Sénégal a été représenté par une délégation conduite par Monsieur Amadou KANE, ministre de l’Economie et des
Finances.
Ces assemblées qui avaient pour thème « la transformation structurelle de l’Afrique », ont inclus des séminaires de
haut niveau sur des questions d’actualité : le climat des affaires, l’énergie, le financement des infrastructures,
l’intégration économique, la croissance durable et inclusive, les ressources naturelles, etc. Elles ont également été
l’occasion pour lancer la facilité africaine de l’infrastructure et faire un plaidoyer fort pour que soient jetées les
bases d’un développement durable et inclusif par un engagement ferme à travers l’intégration régionale, la bonne
gouvernance et le financement des infrastructures.
Durant ces assemblées annuelles, il a été beaucoup question de la stratégie de la BAD pour la période 2013-2022
qui a retenu cinq priorités opérationnelles pour améliorer la qualité de la croissance économique en Afrique. Il s’agit
notamment du développement des infrastructures, des questions liées à l’intégration économique régionale, du
développement du secteur privé, de la gouvernance et la responsabilisation, et du renforcement des qualifications et
des technologies. Il a également été annoncé le retour de la croissance économique en Afrique : le continent a vu
son PIB doubler en 12 ans, soit la meilleure performance à travers le monde. Cependant, pour consolider les acquis
et aller de l’avant, la croissance doit être durable et inclusive (retombées ressenties par les populations), bâtie sur
une transformation structurelle et non sur la seule exploitation de ses ressources naturelles. Pour cela, le continent
doit tirer profit de la jeunesse de sa population (dividende démographique), faire le bond technologique, investir
dans les infrastructures et la connaissance (capital humain). Il a été aussi fait du rôle important que le secteur
privé a à jouer dans ce processus à côté des pouvoirs publics.
Ces assemblées ont aussi préconisé que l’agriculture soit considérée comme la clé de voûte de la transformation
structurelle en Afrique. Seul 5% des céréales consommées en Afrique proviennent du continent, ce qui indique un
marché important à conquérir en maîtrisant les systèmes de production et en investissant massivement dans les
infrastructures agricoles.
Les participants se sont accordés sur le fait qu’il n’y aura point de transformation structurelle sans une énergie de
qualité et au moindre coût. Cette question de l’énergie est d’autant plus importante que la demande ne cesse de
progresser dans un contexte de croissance économique assez soutenue (6,2% en moyenne annuelle) et de croît
démographique encore élevé. Le seul secteur public ne peut supporter les besoins du secteur, d’où la nécessité
d’impliquer le secteur privé à travers des PPP notamment.
Pour rappel, au regard des disparités (98% de taux d’accès à l’électricité en Afrique du Nord et 5 à 70% dans le
reste du continent), il a été recommandé de développer des pools énergétique (interconnexion de réseaux) pour
créer un véritable marché de l’électricité, qui se traduira par une réduction sensible des coûts.
En outre, la BAD milite pour la création d’un Fonds du cinquantenaire africain. Ce Fonds devrait aider à financer les
infrastructures viables dont la rentabilité serait avérée. Un appel serait lancé aux bailleurs de fonds, partenaires de
l’Afrique, pour appuyer ce Fonds.
Le ministre de l’Economie et des Finances a dans son allocution fait part des « immenses défis qui interpellent le
développement de l’Afrique et qui nécessitent la mobilisation de ressources financières colossales qui dépassent
largement les capacités de financement de la Banque Africaine de Développement ».
Il a en outre proposé que « les pays africains développent des stratégies innovantes et ingénieuses afin de
mobiliser des ressources, plus et mieux ».
Selon lui toujours, « la mobilisation des ressources, à travers le plein développement du partenariat public-privé et
le recours au cofinancement avec d’autres institutions financières multilatérales, pour concrétiser la Vision de
l’Afrique en 2022 et oeuvrer toujours à améliorer l’efficacité de notre institution bancaire, reste plus qu’urgente ».
En marge de ces Assemblées annuelles, M. KANE, ministre de l’Economie et des Finances a eu plusieurs séances de
travail bilatérales avec entre autres, Monsieur Hesman AL-WAQAYAN, Directeur Général Fonds Koweitien ; M. Andy
Baukol, Secrétaire Général du ministère des Finances des Etats Unis d’Amérique; le Directeur Général de la Banque
Arabe pour le Développement Economique de l’Afrique ; une délégation du Trésor Français et de l’Agence Française
de Développement ; le haut Commissaire de l’OMVS et des représentants de banques commerciales tels que M.
Andrew Dell CEO HSBC Africa; Monsieur Matthieu Pigasse de Lazard et Frères, une Délégation de Standard
Chartered Bank, une délégation de Exim Bank Inde; M. Matthew Martin, Directeur de Debt Relief International (DRI)…
Ces assemblées annuelles qui se sont tenues en présence du Président de la République du Rwanda, Monsieur Paul
KAGAME et du Président de la République du Gabon Monsieur Ali Bongo Ondimba, se sont terminées avec la
décision de la tenue des prochaines assemblées et le retour du siège de la Banque Africaine de Développement à
Abidjan en Côte d’Ivoire après 10 ans de délocalisation en Tunisie.
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ASSEMBLEES ANNUELLES DE LA BANQUE AFRICAINE DEVELOPPEMENT, MARRAKECH, 30 – 31 MAI 2013
Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Kane, prône des stratégies innovantes et
ingénieuses pour une meilleure mobilisation de ressources
La 48ème Assemblée annuelle du Conseil des Gouverneurs de la BAD et la 39ème Assemblée annuelle du Conseil des
Gouverneurs du Fonds Africain de Développement (FAD) se sont conjointement tenues les 30 et 31 mai 2013 à
Marrakech, Royaume du Maroc.
Le Sénégal a été représenté par une délégation conduite par Monsieur Amadou KANE, ministre de l’Economie et des
Finances.
Ces assemblées qui avaient pour thème « la transformation structurelle de l’Afrique », ont inclus des séminaires de
haut niveau sur des questions d’actualité : le climat des affaires, l’énergie, le financement des infrastructures,
l’intégration économique, la croissance durable et inclusive, les ressources naturelles, etc. Elles ont également été
l’occasion pour lancer la facilité africaine de l’infrastructure et faire un plaidoyer fort pour que soient jetées les
bases d’un développement durable et inclusif par un engagement ferme à travers l’intégration régionale, la bonne
gouvernance et le financement des infrastructures.
Durant ces assemblées annuelles, il a été beaucoup question de la stratégie de la BAD pour la période 2013-2022
qui a retenu cinq priorités opérationnelles pour améliorer la qualité de la croissance économique en Afrique. Il s’agit
notamment du développement des infrastructures, des questions liées à l’intégration économique régionale, du
développement du secteur privé, de la gouvernance et la responsabilisation, et du renforcement des qualifications et
des technologies. Il a également été annoncé le retour de la croissance économique en Afrique : le continent a vu
son PIB doubler en 12 ans, soit la meilleure performance à travers le monde. Cependant, pour consolider les acquis
et aller de l’avant, la croissance doit être durable et inclusive (retombées ressenties par les populations), bâtie sur
une transformation structurelle et non sur la seule exploitation de ses ressources naturelles. Pour cela, le continent
doit tirer profit de la jeunesse de sa population (dividende démographique), faire le bond technologique, investir
dans les infrastructures et la connaissance (capital humain). Il a été aussi fait du rôle important que le secteur
privé a à jouer dans ce processus à côté des pouvoirs publics.
Ces assemblées ont aussi préconisé que l’agriculture soit considérée comme la clé de voûte de la transformation
structurelle en Afrique. Seul 5% des céréales consommées en Afrique proviennent du continent, ce qui indique un
marché important à conquérir en maîtrisant les systèmes de production et en investissant massivement dans les
infrastructures agricoles.
Les participants se sont accordés sur le fait qu’il n’y aura point de transformation structurelle sans une énergie de
qualité et au moindre coût. Cette question de l’énergie est d’autant plus importante que la demande ne cesse de
progresser dans un contexte de croissance économique assez soutenue (6,2% en moyenne annuelle) et de croît
démographique encore élevé. Le seul secteur public ne peut supporter les besoins du secteur, d’où la nécessité
d’impliquer le secteur privé à travers des PPP notamment.
Pour rappel, au regard des disparités (98% de taux d’accès à l’électricité en Afrique du Nord et 5 à 70% dans le
reste du continent), il a été recommandé de développer des pools énergétique (interconnexion de réseaux) pour
créer un véritable marché de l’électricité, qui se traduira par une réduction sensible des coûts.
En outre, la BAD milite pour la création d’un Fonds du cinquantenaire africain. Ce Fonds devrait aider à financer les
infrastructures viables dont la rentabilité serait avérée. Un appel serait lancé aux bailleurs de fonds, partenaires de
l’Afrique, pour appuyer ce Fonds.
Le ministre de l’Economie et des Finances a dans son allocution fait part des « immenses défis qui interpellent le
développement de l’Afrique et qui nécessitent la mobilisation de ressources financières colossales qui dépassent
largement les capacités de financement de la Banque Africaine de Développement ».
Il a en outre proposé que « les pays africains développent des stratégies innovantes et ingénieuses afin de
mobiliser des ressources, plus et mieux ».
Selon lui toujours, « la mobilisation des ressources, à travers le plein développement du partenariat public-privé et
le recours au cofinancement avec d’autres institutions financières multilatérales, pour concrétiser la Vision de
l’Afrique en 2022 et oeuvrer toujours à améliorer l’efficacité de notre institution bancaire, reste plus qu’urgente ».
En marge de ces Assemblées annuelles, M. KANE, ministre de l’Economie et des Finances a eu plusieurs séances de
travail bilatérales avec entre autres, Monsieur Hesman AL-WAQAYAN, Directeur Général Fonds Koweitien ; M. Andy
Baukol, Secrétaire Général du ministère des Finances des Etats Unis d’Amérique; le Directeur Général de la Banque
Arabe pour le Développement Economique de l’Afrique ; une délégation du Trésor Français et de l’Agence Française
de Développement ; le haut Commissaire de l’OMVS et des représentants de banques commerciales tels que M.
Andrew Dell CEO HSBC Africa; Monsieur Matthieu Pigasse de Lazard et Frères, une Délégation de Standard
Chartered Bank, une délégation de Exim Bank Inde; M. Matthew Martin, Directeur de Debt Relief International (DRI)…
Ces assemblées annuelles qui se sont tenues en présence du Président de la République du Rwanda, Monsieur Paul
KAGAME et du Président de la République du Gabon Monsieur Ali Bongo Ondimba, se sont terminées avec la
décision de la tenue des prochaines assemblées et le retour du siège de la Banque Africaine de Développement à
Abidjan en Côte d’Ivoire après 10 ans de délocalisation en Tunisie.
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ASSEMBLEES ANNUELLES DE LA BANQUE AFRICAINE DEVELOPPEMENT, MARRAKECH, 30 – 31 MAI 2013
Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Kane, prône des stratégies innovantes et
ingénieuses pour une meilleure mobilisation de ressources
La 48ème Assemblée annuelle du Conseil des Gouverneurs de la BAD et la 39ème Assemblée annuelle du Conseil des
Gouverneurs du Fonds Africain de Développement (FAD) se sont conjointement tenues les 30 et 31 mai 2013 à
Marrakech, Royaume du Maroc.
Le Sénégal a été représenté par une délégation conduite par Monsieur Amadou KANE, ministre de l’Economie et des
Finances.
Ces assemblées qui avaient pour thème « la transformation structurelle de l’Afrique », ont inclus des séminaires de
haut niveau sur des questions d’actualité : le climat des affaires, l’énergie, le financement des infrastructures,
l’intégration économique, la croissance durable et inclusive, les ressources naturelles, etc. Elles ont également été
l’occasion pour lancer la facilité africaine de l’infrastructure et faire un plaidoyer fort pour que soient jetées les
bases d’un développement durable et inclusif par un engagement ferme à travers l’intégration régionale, la bonne
gouvernance et le financement des infrastructures.
Durant ces assemblées annuelles, il a été beaucoup question de la stratégie de la BAD pour la période 2013-2022
qui a retenu cinq priorités opérationnelles pour améliorer la qualité de la croissance économique en Afrique. Il s’agit
notamment du développement des infrastructures, des questions liées à l’intégration économique régionale, du
développement du secteur privé, de la gouvernance et la responsabilisation, et du renforcement des qualifications et
des technologies. Il a également été annoncé le retour de la croissance économique en Afrique : le continent a vu
son PIB doubler en 12 ans, soit la meilleure performance à travers le monde. Cependant, pour consolider les acquis
et aller de l’avant, la croissance doit être durable et inclusive (retombées ressenties par les populations), bâtie sur
une transformation structurelle et non sur la seule exploitation de ses ressources naturelles. Pour cela, le continent
doit tirer profit de la jeunesse de sa population (dividende démographique), faire le bond technologique, investir
dans les infrastructures et la connaissance (capital humain). Il a été aussi fait du rôle important que le secteur
privé a à jouer dans ce processus à côté des pouvoirs publics.
Ces assemblées ont aussi préconisé que l’agriculture soit considérée comme la clé de voûte de la transformation
structurelle en Afrique. Seul 5% des céréales consommées en Afrique proviennent du continent, ce qui indique un
marché important à conquérir en maîtrisant les systèmes de production et en investissant massivement dans les
infrastructures agricoles.
Les participants se sont accordés sur le fait qu’il n’y aura point de transformation structurelle sans une énergie de
qualité et au moindre coût. Cette question de l’énergie est d’autant plus importante que la demande ne cesse de
progresser dans un contexte de croissance économique assez soutenue (6,2% en moyenne annuelle) et de croît
démographique encore élevé. Le seul secteur public ne peut supporter les besoins du secteur, d’où la nécessité
d’impliquer le secteur privé à travers des PPP notamment.
Pour rappel, au regard des disparités (98% de taux d’accès à l’électricité en Afrique du Nord et 5 à 70% dans le
reste du continent), il a été recommandé de développer des pools énergétique (interconnexion de réseaux) pour
créer un véritable marché de l’électricité, qui se traduira par une réduction sensible des coûts.
En outre, la BAD milite pour la création d’un Fonds du cinquantenaire africain. Ce Fonds devrait aider à financer les
infrastructures viables dont la rentabilité serait avérée. Un appel serait lancé aux bailleurs de fonds, partenaires de
l’Afrique, pour appuyer ce Fonds.
Le ministre de l’Economie et des Finances a dans son allocution fait part des « immenses défis qui interpellent le
développement de l’Afrique et qui nécessitent la mobilisation de ressources financières colossales qui dépassent
largement les capacités de financement de la Banque Africaine de Développement ».
Il a en outre proposé que « les pays africains développent des stratégies innovantes et ingénieuses afin de
mobiliser des ressources, plus et mieux ».
Selon lui toujours, « la mobilisation des ressources, à travers le plein développement du partenariat public-privé et
le recours au cofinancement avec d’autres institutions financières multilatérales, pour concrétiser la Vision de
l’Afrique en 2022 et oeuvrer toujours à améliorer l’efficacité de notre institution bancaire, reste plus qu’urgente ».
En marge de ces Assemblées annuelles, M. KANE, ministre de l’Economie et des Finances a eu plusieurs séances de
travail bilatérales avec entre autres, Monsieur Hesman AL-WAQAYAN, Directeur Général Fonds Koweitien ; M. Andy
Baukol, Secrétaire Général du ministère des Finances des Etats Unis d’Amérique; le Directeur Général de la Banque
Arabe pour le Développement Economique de l’Afrique ; une délégation du Trésor Français et de l’Agence Française
de Développement ; le haut Commissaire de l’OMVS et des représentants de banques commerciales tels que M.
Andrew Dell CEO HSBC Africa; Monsieur Matthieu Pigasse de Lazard et Frères, une Délégation de Standard
Chartered Bank, une délégation de Exim Bank Inde; M. Matthew Martin, Directeur de Debt Relief International (DRI)…
Ces assemblées annuelles qui se sont tenues en présence du Président de la République du Rwanda, Monsieur Paul
KAGAME et du Président de la République du Gabon Monsieur Ali Bongo Ondimba, se sont terminées avec la
décision de la tenue des prochaines assemblées et le retour du siège de la Banque Africaine de Développement à
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Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Kane, prône des stratégies innovantes et
ingénieuses pour une meilleure mobilisation de ressources
La 48ème Assemblée annuelle du Conseil des Gouverneurs de la BAD et la 39ème Assemblée annuelle du Conseil des
Gouverneurs du Fonds Africain de Développement (FAD) se sont conjointement tenues les 30 et 31 mai 2013 à
Marrakech, Royaume du Maroc.
Le Sénégal a été représenté par une délégation conduite par Monsieur Amadou KANE, ministre de l’Economie et des
Finances.
Ces assemblées qui avaient pour thème « la transformation structurelle de l’Afrique », ont inclus des séminaires de
haut niveau sur des questions d’actualité : le climat des affaires, l’énergie, le financement des infrastructures,
l’intégration économique, la croissance durable et inclusive, les ressources naturelles, etc. Elles ont également été
l’occasion pour lancer la facilité africaine de l’infrastructure et faire un plaidoyer fort pour que soient jetées les
bases d’un développement durable et inclusif par un engagement ferme à travers l’intégration régionale, la bonne
gouvernance et le financement des infrastructures.
Durant ces assemblées annuelles, il a été beaucoup question de la stratégie de la BAD pour la période 2013-2022
qui a retenu cinq priorités opérationnelles pour améliorer la qualité de la croissance économique en Afrique. Il s’agit
notamment du développement des infrastructures, des questions liées à l’intégration économique régionale, du
développement du secteur privé, de la gouvernance et la responsabilisation, et du renforcement des qualifications et
des technologies. Il a également été annoncé le retour de la croissance économique en Afrique : le continent a vu
son PIB doubler en 12 ans, soit la meilleure performance à travers le monde. Cependant, pour consolider les acquis
et aller de l’avant, la croissance doit être durable et inclusive (retombées ressenties par les populations), bâtie sur
une transformation structurelle et non sur la seule exploitation de ses ressources naturelles. Pour cela, le continent
doit tirer profit de la jeunesse de sa population (dividende démographique), faire le bond technologique, investir
dans les infrastructures et la connaissance (capital humain). Il a été aussi fait du rôle important que le secteur
privé a à jouer dans ce processus à côté des pouvoirs publics.
Ces assemblées ont aussi préconisé que l’agriculture soit considérée comme la clé de voûte de la transformation
structurelle en Afrique. Seul 5% des céréales consommées en Afrique proviennent du continent, ce qui indique un
marché important à conquérir en maîtrisant les systèmes de production et en investissant massivement dans les
infrastructures agricoles.
Les participants se sont accordés sur le fait qu’il n’y aura point de transformation structurelle sans une énergie de
qualité et au moindre coût. Cette question de l’énergie est d’autant plus importante que la demande ne cesse de
progresser dans un contexte de croissance économique assez soutenue (6,2% en moyenne annuelle) et de croît
démographique encore élevé. Le seul secteur public ne peut supporter les besoins du secteur, d’où la nécessité
d’impliquer le secteur privé à travers des PPP notamment.
Pour rappel, au regard des disparités (98% de taux d’accès à l’électricité en Afrique du Nord et 5 à 70% dans le
reste du continent), il a été recommandé de développer des pools énergétique (interconnexion de réseaux) pour
créer un véritable marché de l’électricité, qui se traduira par une réduction sensible des coûts.
En outre, la BAD milite pour la création d’un Fonds du cinquantenaire africain. Ce Fonds devrait aider à financer les
infrastructures viables dont la rentabilité serait avérée. Un appel serait lancé aux bailleurs de fonds, partenaires de
l’Afrique, pour appuyer ce Fonds.
Le ministre de l’Economie et des Finances a dans son allocution fait part des « immenses défis qui interpellent le
développement de l’Afrique et qui nécessitent la mobilisation de ressources financières colossales qui dépassent
largement les capacités de financement de la Banque Africaine de Développement ».
Il a en outre proposé que « les pays africains développent des stratégies innovantes et ingénieuses afin de
mobiliser des ressources, plus et mieux ».
Selon lui toujours, « la mobilisation des ressources, à travers le plein développement du partenariat public-privé et
le recours au cofinancement avec d’autres institutions financières multilatérales, pour concrétiser la Vision de
l’Afrique en 2022 et oeuvrer toujours à améliorer l’efficacité de notre institution bancaire, reste plus qu’urgente ».
En marge de ces Assemblées annuelles, M. KANE, ministre de l’Economie et des Finances a eu plusieurs séances de
travail bilatérales avec entre autres, Monsieur Hesman AL-WAQAYAN, Directeur Général Fonds Koweitien ; M. Andy
Baukol, Secrétaire Général du ministère des Finances des Etats Unis d’Amérique; le Directeur Général de la Banque
Arabe pour le Développement Economique de l’Afrique ; une délégation du Trésor Français et de l’Agence Française
de Développement ; le haut Commissaire de l’OMVS et des représentants de banques commerciales tels que M.
Andrew Dell CEO HSBC Africa; Monsieur Matthieu Pigasse de Lazard et Frères, une Délégation de Standard
Chartered Bank, une délégation de Exim Bank Inde; M. Matthew Martin, Directeur de Debt Relief International (DRI)…
Ces assemblées annuelles qui se sont tenues en présence du Président de la République du Rwanda, Monsieur Paul
KAGAME et du Président de la République du Gabon Monsieur Ali Bongo Ondimba, se sont terminées avec la
décision de la tenue des prochaines assemblées et le retour du siège de la Banque Africaine de Développement à
Abidjan en Côte d’Ivoire après 10 ans de délocalisation en Tunisie.
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DOSSIER DE PRESSE
“ITINERAIRES - NEXT STOP : BROOKLYN / DAKAR
VIA BAMAKO”
UNE EXPOSITION INTERACTIVE ET EDUCATIVE SUR LES...
-
05-Jun-2013
to
13:43
-
See
- ImagiNation Afrika, premier musée d\'enfants en Afrique sub-saharienne
- DOSSIER DE PRESSE
“ITINERAIRES - NEXT STOP : BROOKLYN / DAKAR
VIA BAMAKO”
UNE EXPOSITION INTERACTIVE ET EDUCATIVE SUR LES MIGRATIONS
Du 8 au 22 juin 2013 au Musée Théodore Monod
Organisé par
[email protected]
www.ImagiNationAfrika.com/fr
HISTORIQUE
Le Musée des enfants ImagiNation Afrika a été fondé en 2010 par Karima Grant, Tej Rae,
Dominique Diop Duval, Kathryn Lane, Tricia Lawrence-Savane et Nganti Towo.
L’équipe d’ImagiNation Afrika offre une combinaison dynamique des compétences et d’expérience
dans les arts et le renforcement de l’éducation, la recherche, la surveillance et l’évaluation, la
gestion de projet (y compris le financement) et le leadership.
La mission d’ImagiNation Afrika, premier musée des enfants en Afrique, est de contribuer à
l’éducation des jeunes et de susciter l\'imagination et l\'apprentissage pour la diffusion d\'une culture
de la pensée critique.
En proposant, à travers des méthodes d’apprentissages interactives, ludiques et créatives, des
activités explorant aussi bien les Arts, que les Sciences, que les Cultures, ImagiNation Afrika veut
encourager les enfants de deux à dix-huit ans à s’approprier le développement de l’Afrique en
devenir.
NOS VALEURS
● Centré sur l’enfant : nous honorons et respectons les points de vue des enfants et leurs modes
d\'apprentissage.
● Jeu : nous croyons que les enfants apprennent mieux par le jeu et le renforcement positif, et
nous organisons nos expositions et programmes en conséquence.
● Accessibilité : nous créons et maintenons la sécurité centrée sur l\'enfant dans des espaces
physiques qui sont accessibles à tous les enfants, indépendamment de leur situation économique,
géographique ou encore des difficultés mentales ou physiques.
● Penser globalement, agir localement : nous mettons la priorité sur les économies locales et
des partenaires locaux dans toutes les activités du musée et des expositions.
● Transparence : la crédibilité juridique, fiscale et éthique est essentielle pour préserver l\'intégrité
de l\'organisation et honorer les enfants.
2
La poésie du ciel en mars 2012
Un participant à l\'activité
la poésie du ciel
en train d’observer des étoiles.
LE PROJET NEXT STOP - BROOKLYN / DAKAR
Rendu possible grâce à une subvention de l’American Alliance of Museums et du Département
d’Etat des Etats-Unis/Bureau de l’Education et de la Culture dans le cadre du prestigieux
programme 2012 Museums Connect, le projet Next Stop : Brooklyn / Dakar a donné la parole à
des jeunes de Brooklyn et de Dakar sur les mouvements migratoires Mali/Sénégal, Sénégal/New
York et ce depuis novembre 2012.
ImagiNation Afrika a collaboré avec l’Empire des Enfants et le Lycée d’Excellence Privé Birago
Diop dans le cadre de ce projet. Des jeunes de 16 ans ont mené une étude multidisciplinaire sur
l’impact des migrations dans la société.
A travers ce projet, les élèves ont acquis :
• des compétences multimédia (photo/vidéo) et des techniques d’utilisation des réseaux sociaux;
• des techniques d’entretien;
• des méthodes de recherche;
• des compétences en collecte participative de données;
• des méthodes d’analyse.
Ils ont effectué des voyages d’études à Thiès et à Dakar pour prendre des photos et tourner des
vidéos sur les endroits où des migrants du Mali se sont installés. Ensuite les élèves ont participé à
la conception de l’exposition final «Itinéraires : Next Stop Brooklyn / Dakar via Bamako »
« Quand je suis derrière la caméra, je vois l’environnement différemment. Il paraît plus beau que
d’habitude. C’est plus clair. » Yaye Aissatou Fall, participante du projet élève au LEBD
3
Participant au projet, élève du LEPBD
effectuant des recherches aux archives
nationales
Participant au projet, élève du LEPBD
effectuant un entretien avec un
commerçant malien
L’EXPOSITION «Itinéraires: Next Stop Brooklyn / Dakar via Bamako »
• Propose une utilisation innovante des NTIC par des enfants et des jeunes
• Contribue à la discussion sur l’immigration
• Sert comme introduction à la notion de globalisation et de village planétaire pour les plus jeunes
• Est une célébration de l’histoire du Sénégal et permet un renforcement de nos liens culturels
• Crée une opportunité pour les jeunes pour utiliser leurs compétences et accroitre leurs capacités
Les activités proposées aux visiteurs seront déclinées à travers trois regards :
1) Histoire et Mémoire
2) Interculturalité
3) Témoignage
Interculturalité :
« Tay si ngoon di naa dem stade demba diop si konser hip-hop ba. Damay sol sama jean bu bulo
te bou konser ba dieexee di naa dem fastfud bi si koñ bi ak samay xarit lekki ambourgër bu neex »
Les objectifs de ces activités sont de :
• Sensibiliser aux thématiques de l’histoire et de la mémoire de l’immigration.
• Changer les regards sur l’immigration.
• Expérimenter de nouvelles formes d’activités en adéquation avec le jeune public.
• L’immigration est une thématique qui mobilise plusieurs disciplines des programmes de
l’école élémentaire, notamment du cycle des approfondissements.
A la gare de Dakar 1884
4
LES JEUX ET ACTIVITES DE L’EXPOSITION
• « Passé et présent » Les idées, les personnes bougent et voyagent, le temps passe,
l’histoire se déroule. Les visiteurs visionnent une projection d’archives iconographiques et
des films sur l’histoire du Sénégal.
• « Les valises extraordinaires » Quels objets emporterais-tu si tu devais partir loin de ta
maison. Les visiteurs dessinent ce qu’ils emporteraient dans leur valise. Les dessins seront
collés dans la valise géante.
• «La valise de Dorothée» Chanson à écouter, les visiteurs écoutent la chanson et remettent
à leur place les étiquettes des mots manquants.
• «Chez l’antiquaire » Les visiteurs découvrent et dessinent les masques bambara
• «Allons au marché» Les visiteurs découvrent les produits du marché du Mali et se mettent
dans la peau de vendeurs-acheteurs
• « Jeux de mots» Des cartes devinettes sont collés sur le planisphère, les visiteurs
répondent aux devinettes pour découvrir les mots voyageurs.
• « Tous polyglotte ? »Un visiteur tire une carte et montre l’image aux joueurs, les joueurs
essayent de deviner l’origine et la signification du mot
• « Ce que je mange » Peux-tu remettre chaque plat ou denrée dans son assiette ?
• « La case aux objets migrateurs » Les visiteurs déplacent les boîtes-pays pour les remettre
auprès des objets, attention aux intrus.
• « Où suis-je ? » Photos des pays du monde ; sur le planisphère, les visiteurs doivent
raccrocher les photos dans la bonne case.
• « Parcours des migrants » Jeux de rôle qui retracent les défis du parcours des migrants.
• « Projection film » Film réalisé par les élèves du Lycée Birago Diop sur des témoignages
de personnes issues de l’immigration. \"Le point de vue du lion\". \"Les Etats Unis d\'Afrique\".
\"Zarafa\".\"La pirogue\". \"Little Sénégal\".
• «Les portraits » 25 photos de migrants maliens prises par les élèves du Lycée Birago Diop
durant les recherches à Dakar et à Thiès.
• « Le carrefour photo » Des portraits des visiteurs seront pris dans la locomotive du train
Express Dakar-Bamako.
• « Ça fait débat ?» Suite aux projections de films, des débats s’ouvriront avec les jeunes:
Qu’est-ce qu’une frontière? Qu’est-ce qu’un préjugé ? Comment devient-on migrant ? Etc.
• « Stand de l’Office International des Migrations » exposition photos.
• « Le grand quiz » 15 questions pour tester tes connaissances sur les migrations.
• « La galerie des dons » Les visiteurs font un don ou un dépôt d’un objet de leur choix qui
témoigne des moments de leur vie dans leur pays d’origine. (Objets, photos….)
• «Spectacle marionnettes de l’Empire des enfants » Kalidou et le babamagic
LE PROGRAMME DE L’EXPOSITION
L’exposition est ouverte du 8 au 22 juin 2013 au Musée Théodore Monod
Les lundis, mardis, jeudis, vendredis de 10h30 à 13h et de 14h à 17 h
Les mercredis, samedis, dimanches de 10h30 à 17 h
NOCTURNE : Les samedis 15 et 22 juin 2013
D’une durée d\'1h30, 2h ou 2h30, toutes les activités de l’exposition grâce à une approche
participative et ludique sont réalisables en autonomie avec l’accompagnement des enseignants et
éducateurs ou des parents. Les visites peuvent également être axées sur une thématique.
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ACTIVITES SPECIALES
Samedi
8 juin 2103
15h-vernissage
animations
marionnettes
Dimanche
9 juin 2103
15h
film tout public
Lundi
10 juin 2103
10h30
projection film + débat
les Etats-unis d\'Afrique
Mardi
11 juin 2103
10h30
projection film + débat
Du point de vue du lion
Samedi
15 juin 2103
17h-21h
soirée famille
Dimanche
16 juin 2103
15h
film tout public
Lundi
17 juin 2103
10h30
projection film + débat
La pirogue
Mardi
18 juin 2103
10h30
projection film + débat
Little Sénégal
Samedi
22 juin 2013
16h-21h
soirée famille
Un mot de Karima Grant - Directrice du musée ImagiNation Afrika
« L’exposition itinéraire – Next Stop: Brooklyn/Dakar via Bamako emmène à percevoir le
monde différemment en nous regardant nous-mêmes différemment, à comprendre les
nombreux mondes qui sont en chacun de nous, à dépasser les frontières qui nous
divisent. Voir c’est croire, mais croire aussi c’est voir. Voilà une autre perspective sur
l’Afrique proposée par et pour les jeunes africains! »
Un mot de Nganti Towo - Chargée des programmes du musée ImagiNation Afrika
« Les migrations: cela me concerne particulièrement; de père camerounais et de mère
française, installée au Sénégal depuis quinze ans, je côtoie dans mon quartier à Yoff, des
Guinéens et des Maliens, des Nigérians et des Ivoiriens, des Italiens, des Français, des
Américains, des Coréens. Les migrations, sujet brûlant d\'actualité, même si les hommes
migrent depuis la nuit des temps. La thématique des migrations nous ouvre à la question
du vivre ensemble, question incontournable à notre époque où la facilité des
communications a transformé le monde en un grand village.
Les activités proposées au sein de l\'exposition \"Next stop Brooklyn/Dakar via Bamako\"
mettront les enfants dans des situations idéales pour s\'entraîner au dialogue et à
l\'ouverture. »
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AVEC LE SOUTIEN DES PARTENAIRES ET SPONSORS
AMBASSADE AMERICAINE A DAKAR
MUSEUMS CONNECT/ALLIANCE AMERICAINE DES MUSEES/DEPARTEMENT DE
L’ETAT DES ETATS-UNIS/BUREAU DE L’EDUCATION ET DE LA CULTURE
BROOKLYN CHILDREN’S MUSEUM
LYCEE D’EXCELLENCE PRIVE BIRAGO DIOP
MUSEE THEODORE MONOD/IFAN
EMPIRE DES ENFANTS
CARACTERE COMMUNICATIONS
SONATEL
BY FILLING
BICIS
AZAL COMMUNICATION
BRITISH COUNCIL
FONDATION SONATEL
ORGANISATION INTERNATIONALE POUR LES MIGRATIONS
BLEU MEDIA
CINEMATHEQUE AFRIQUE DE L\'INSTITUT FRANÇAIS
KIRENE
MOBICINE
SENMOBILE
D-MEDIA
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Bonjour Madame/Monsieur
En collaboration avec la Direction des Pêches maritimes (DPM) et l’Institut universitaire des Pêches et d’Aquaculture (IUPA), le...
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04-Jun-2013
to
16:47
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See
- Demande de couverture médiatique
- Bonjour Madame/Monsieur
En collaboration avec la Direction des Pêches maritimes (DPM) et l’Institut universitaire des Pêches et d’Aquaculture (IUPA), le Projet USAID/COMFISH a le plaisir de convier votre organe à la cérémonie de présentation des résultats de l\'évaluation des stocks de poissons au Sénégal par le Prof. Daniel Pauly, expert mondial en pêche, de l\'Université de British Columbia (Canada), le samedi 8 juin 2013 à partir de 10h30, à la salle de conférence de l\'UCAD II près de l\'IUPA (Institut universitaire des Pêches et de l\'Aquaculture ) à l\'Université CheicK Anta Diop.
Merci d\'avance et bien cordialement,
Frédéric
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Ministère de l’Economie et des Finances
Centre Peytavin, Rue René Ndiaye X Avenue Carde Dakar :
Tel. : + 221...
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04-Jun-2013
to
16:43
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See
- Signature avec le Bureau Régional de la Banque Africaine de
- Ministère de l’Economie et des Finances
Centre Peytavin, Rue René Ndiaye X Avenue Carde Dakar :
Tel. : + 221 33 889 21 00 Fax : +221 33 822 70 11
Web site : www.finances.gouv.sn Email : [email protected]
REPUBLIQUE DU SENEGAL
Un Peuple – Un But – Une Foi
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MINISTERE DE L’ECONOMIE Dakar le 31 mai 2013
ET DES FINANCES
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CELLULE DE COMMUNICATION
DEMANDE DE COUVERTURE
Signature avec le Bureau Régional de la Banque Africaine de
Développement de l’accord de prêt et du protocole d’accord de
don relatifs au Projet d’Appui à la Sécurité Alimentaire dans les
régions de Louga, Matam et Kaffrine.
Monsieur Amadou KANE, Ministre de l’Economie et des Finances et
Madame LEILA MOKADDEM, Représentante Résidente de la Banque
Africaine de Développement procéderont, ce lundi 03 juin 2013 à
16 heures, à la signature de l’accord de prêt et du protocole
d’accord de don relatifs au Projet d’Appui à la Sécurité
Alimentaire dans les régions de Louga, Matam et Kaffrine.
Ces accords portent respectivement sur deux (02) millions d’Unités
de comptes (soit 1.520.524.000 F CFA) et quarante (40) millions
de dollars US (soit 20.328.240.000 F CFA).
La cérémonie de signature aura lieu à la salle de conférences du
6ème étage du Ministère de l’Économie et des Finances.
Votre organe de presse est cordialement invité à assurer la
couverture médiatique de cette cérémonie.
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