Les mêmes sources précisent que l’attentat s’est produit dans des conditions similaires à celui du 16 mars 2019, dans les environs de Kabonga (Kompienga) avec pour bilan, un gendarme et un béret rouge, fauchés.
En effet, les deux attentats auraient été provoqués par des engins enfouis dans le sol, il y a bien longtemps. Selon des indiscrétions, plusieurs chemins menant aux gîtes des terroristes dans la partie orientale du Burkina Faso, auraient été constellés d’engins explosifs.
Ces attentats terroristes se produisent pendant que les Forces de défense et de sécurité (FDS) burkinabè sont en pleine opération spéciale de sécurisation dénommée «Otapuanu» dans les régions de l’Est et du Centre-Est.
Plusieurs sources sécuritaires avancent que l’opération «Otapuanu» qui démarré, il y a une dizaine de jours, a permis de neutraliser un nombre important de terroristes et de mettre la main sur le chef des groupes terroristes de la région de l’Est, Omarou Diallo, allias Diaw Oumarou.
ALK/cd/APA