Cette mesure, explique le ministère de l’environnement, de la conservation des ressources naturelles et du tourisme du Botswana, vise à permettre le repeuplement des poissons et aussi à donner l’opportunité aux détenteurs de licences, d’exercer leurs activités, dès la fin de la levée de l’embargo, après le 28 février.
Les autorités du pays ont ainsi conseillé aux citoyens de déclarer au département de la faune et des parcs nationaux, au plus tard le 13 janvier, tout poisson ou espèce halieutique pris dans les eaux maritimes du pays et destiné à un usage commercial.
« Tout poisson ou produit de pêches non déclaré à cette date sera considéré comme illégal. Toute personne transportant du poisson et des espèces halieutiques devra produire une preuve d’acquisition provenant d’une source légale », a déclaré le porte-parole du ministère de l’environnement, de la conservation des ressources naturelles et du tourisme du Botswana, Boikhutso Mashona.
Les pêcheurs qui n’observeront pas cette mesure feront face à de graves pénalités conformément aux règlementations de la pêche, indique-t-on.
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