Avant de demander cette peine, le parquet général près la cour d’appel de N’Djaména a d’abord rappelé les chefs d’accusation formulées contre Baba Ladé, puis a souligné que l’accusé n'était pas éligible à l'amnistie déclarée en juin par le chef de l’Etat Idriss Déby, contrairement au plaidoyer fait dans ce sens par ses avocats.
Arrêté en 2015 en Centrafrique, puis rapatrié, Baba Ladé est accusé, entre autres, de viols, d’assassinats, d’association des malfaiteurs, de participation à l’insurrection, de meurtre et de détournement de mineur.
Le verdict du tribunal est attendu dans la journée
AHD/cat/APA