La presse en ligne burkinabè, visitée par APA samedi, se focalise sur l’actualité nationale marquée essentiellement par la 26e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), dont l’ouverture est prévue cet après-midi.
«FESPACO à Bobo: Le Ciné Guimbi accueillera le cinquantenaire», titre Burkina24.com, informant que l’annonce a été faite à Paris au siège de l’UNESCO lors de la conférence de presse internationale du FESPACO le 15 janvier 2019 au grand bonheur du public.
«Bien que pas complètement terminé, le Ciné Guimbi accueillera le Fespaco à Bobo, rassure Berni Goldblat, et ce, du 7 au 10 mars 2019 », précise le média en lignbe.
Pour sa part, Lefaso.net renseigne que la traditionnelle messe d’ouverture du FESPACO aura lieu le dimanche 24 février à 9H00 dans la Cathédrale de Ouagadougou.
«L’Eucharistie sera présidée par Mgr Janvier Marie Gustave YAMEOGO, prélat burkinabè travaillant au Dicastère de la Communication du Vatican », écrit le confrère, avant d’ajouter que «tous les festivaliers et spécialement les artistes et réalisateurs, communicateurs et hommes de la culture du 7ème art y sont conviés».
Quant à Fasozine.com, il annonce que «le mythique groupe ivoirien Magic System» sera la grande attraction de la 26e édition du FESPACO.
«Outre Magic System, d’autres comédiens ivoiriens tels qu’Isaac de Bankolé et Sidiki Bakaba sont également annoncés pour la cérémonie d’ouverture le samedi 23 février prochain au stade municipal de Ouagadougou», fait remarquer ce média en ligne.
De son côté, Wakat Séra.com relate que le président de la Commission sécurité pour le cinquantenaire du FESPACO, le commissaire divisionnaire de police, Joseph Toni, à travers une note, a invité les milliers de festivaliers attendus à «respecter scrupuleusement les consignes sécuritaires».
Selon le confrère, les responsables de la sécurité du FESPACO 2019 ont surtout invité les populations à éviter de porter des «armes à feu, des objets tranchants, contondants ou tous autres objets dangereux» pour un cinquantenaire de la biennale du cinéma panafricain, réussi.
ALK/te/APA